Cette bague de haute joaillerie est un unique exemplaire, réalisé d’après une idée et des croquis élaborés par Marc Robbez Masson. Un péridot d’un bel éclat, lumineux avec cette couleur vive méritait d’être accompagné de la myriade de diamants qui l’entourent. Une bague infiniment précieuse qui révèle tout le savoir-faire de la Taillerie qui pour l’occasion a collaboré avec un grand atelier de joaillerie du Lyonnais.
Son péridot taille émeraude se pose sur une monture sertie de 77 diamants. La ligne de la monture en or blanc est moderne et franche. Sur la face avant et arrière, au centre du pavage un cercle d’or accueille un diamant rond. Ce détail vient rythmer l’ensemble.
Dans l’antiquité on appelait le péridot « Pitdah » de son nom Hébreu. Il proviendrait également du mot arabe « Faridat » qui signifie « pierre précieuse », il était également appelé « Chrysolithe ».
Les croisés ont été les premiers à ramener les péridots du Moyen-Orient pour s’en servir d’ornement. Le plus ancien lieu d’extraction connu se trouvant dans la Mer rouge sur une ile baptisée par les croisés « Saint-Jean » devenu aujourd’hui « Saint-John ». Certains écrits laissent entendre que les célèbres émeraudes de Cléopâtre étaient en réalité des péridots de la Mer Rouge.
Le péridot (appellation commerciale de l’olivine) se retrouve également dans certaines météorites comme les pallasites. Nous vous présentons ci-dessous une tranche de météorite pallasite composée de fer, nickel et olivine.
Le péridot est toujours de couleur verte plus ou moins foncé en fonction de sa teneur en fer. Le plus apprécié doit avoir une couleur verte intense sans nuance jaune ou marron trop prononcée.
par la maison Frediani à Nice, « Chercheur de pierres précieuses depuis 1980 » – https://www.frediani.fr/info-pierre/les-peridots/